Travailleurs immigrants: Boiseries Algonquin dénonce la bureaucratie

À Mirabel, Boiseries Algonquin emploie environ 50 personnes, mais elle en cherche une trentaine de plus. Cinq ans de démarches pour venir des travailleurs de l’étranger sont presque vains.

En entrevue exclusive avec la journaliste Lisa-Marie Gervais dans le quotidien Le Devoir, René Warnet, actionnaire principal de la PME, estime à 150 000 $ la valeur des contrats perdus chaque semaine, ce qui correspond en gros à 7,5 millions par année, un gros manque à gagner pour le fabricant de moulures en bois et de composantes d’escaliers dont le chiffre d’affaires est de 20 millions.

Algonquin possède 350 000 pi ca linéaires d’inventaire de moulures déclinées en 200 gammes.

Cliquez ici pour parcourir le reportage bien détaillé dans Le Devoir.

 

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *