La semaine dernière, l’AQMAT a sonné l’alarme auprès de ses membres à propos du harcèlement, ce fléau qui affecte tous les milieux et qui prend une ampleur sans précédent depuis la vague de dénonciations publiques. Le message semble passer puisque la série de balados (podcasts) a déjà atteint le plateau des 500 écoutes.
On se souviendra que dans un article publié mercredi dernier, on soulignait le fait que notre industrie ne fait pas exception, surtout qu’elle a la réputation d’être encore un univers plutôt masculin et traditionnel. On y exposait les objectifs du programme “Une industrie de la quincaillerie assainie grâce à la lutte contre tout harcèlement”.
Le projet a pour objectif de faire suivre une formation sur le harcèlement par 1600 employés et cadres de quincailleries et d’usines membres de l’AQMAT. « Pour y parvenir, on a privilégié une approche de sensibilisation par des mises en situation enregistrées en audio relatant six histoires racontées par les victimes elles-mêmes issues de notre industrie.
Pour entendre les balados de la série « Peut-être dans une quincaillerie près de chez nous », on clique ici.
Regardez la courte vidéo promotionnelle et explicative de la série de balados en cliquant ici.
Étape suivante : les formations
Le projet entame maintenant une phase plus engageante qui consiste à convaincre des quincailleries et des manufacturiers membres d’offrir la formation virtuelle gratuite auprès des dirigeants et employés de leurs entreprises.
L’inscription aux formations sera possible à partir du 8 septembre. D’ici là, les membres peuvent appuyer les actions de l’AQMAT en rejoignant le groupe LinkedIn.
Pour toute question concernant le programme “Une industrie de la quincaillerie assainie grâce à la lutte contre tout harcèlement”, on contacte Andréa Bélanger, agente de projet stagiaire, à : abelanger@aqmat.org.
D’autres, comme l’AQMAT, ont saisi l’urgence de la situation actuelle et ont également compris l’important rôle qu’ils ont à jouer en tant qu’agent de changement. C’est le cas de En Piste, qui suit les traces de l’AQMAT, en lançant à son tour une clinique contre le harcèlement et les violences dans le milieu du cirque.