La rénovation en tête des priorités cet été

Au courant des prochains mois, plusieurs propriétaires n’hésiteront pas à faire bien des sacrifices afin de compléter les travaux de rénovation dans leur domicile.

Des rénovateurs anticipés au pays, près d’un quart ne vont pas rembourser leurs dettes aussi vite qu’ils aimeraient, 25 % n’épargnent pas assez pour les urgences, et 21 % n’épargnent pas assez pour la retraite afin de privilégier la rénovation planifiée de leur domicile, a révélé un sondage Ipsos réalisé pour le compte de BDO Canada.

On y apprend aussi que si leurs rénovations dépassent leurs budgets, la plupart des rénovateurs vont choisir de dépenser davantage au lieu de mettre le travail en attente.

Au Québec, les bricoleurs financeront la plus grande partie de leur rénovation en s’endettant (31 %), ajoute le sondage.

Près de la moitié des rénovateurs au pays (44 %) utiliseront leurs épargnes pour couvrir ces coûts supplémentaires, alors que 15 % s’endetteront advantage, précise l’enquête.

« Idéalement, vous voudriez éviter de supporter un endettement élevée au cours de plusieurs mois, dit Doug Jones, président de BDO Canada s.r.l. Avec l’addition des frais d’intérêt chaque mois, vous pourriez repayer beaucoup plus que la facture originale. Nous suggérons que les Canadiens se concentrent sur l’épargne-retraite et la réduction de leur endettement existant au lieu de s’endetter davantage pour des rénovations. »

Au Canada, 57 % des propriétaires disent qu’ils sont susceptibles de rénover dans l’année a venir, avec le Québec (72 %) et en l’Ontario (61 %) ayant le plus grand nombre de ménages considérant une rénovation. D’autre part, seulement 40 % des propriétaires dans les provi

Au courant des prochains mois, plusieurs propriétaires n’hésiteront pas à faire des sacrifices afin de rénover leur domicile.

Des rénovateurs anticipés au pays, près d’un quart ne vont pas rembourser leurs dettes aussi vite qu’ils aimeraient, 25 % n’épargnent pas assez pour les urgences, et 21 % n’épargnent pas assez pour la retraite afin de privilégier la rénovation planifiée de leur domicile, a révélé un sondage Ipsos réalisé pour le compte de BDO Canada.

On y apprend aussi que si leurs rénovations dépassent leurs budgets, la plupart des rénovateurs vont choisir de dépenser davantage au lieu de mettre le travail en attente.

Au Québec, les bricoleurs financeront la plus grande partie de leur rénovation en s’endettant (31 %), ajoute le sondage.

Près de la moitié des rénovateurs au pays (44 %) utiliseront leurs épargnes pour couvrir ces coûts supplémentaires, alors que 15 % s’endetteront advantage, précise l’enquête.

Au Canada, 57 % des propriétaires disent qu’ils sont susceptibles de rénover dans l’année a venir, avec le Québec (72 %) et en l’Ontario (61 %) ayant le plus grand nombre de ménages considérant une rénovation. D’autre part, seulement 40 % des propriétaires dans les provinces Atlantiques envisagent faire des rénovations.

En moyenne, les propriétaires canadiens prévoient dépenser 16 439 $ pour leurs rénovations domiciliaires.

Les Albertains s’attendent à dépenser le plus pour leurs rénovations (22 586 $ en moyenne), tandis que ceux de la Saskatchewan et du Manitoba vont dépenser le moins (11 934 $).

Quatre Canadiens sur dix (42 %) disent qu’ils n’ont pas encore établi un budget de rénovation, mais qu’ils ont l’intention de faire, alors que 9 % n’ont pas l’intention d’en faire un.

Les Canadiens de l’Atlantique sont les plus susceptibles (19 %) de dire qu’ils n’ont pas fait de budget pour les rénovations et ne le feront pas. Ils sont également les plus susceptibles d’utiliser une carte de crédit pour payer leurs rénovations (23 % par rapport à la moyenne nationale de 13 %).

Les plus communes craintes financières pour les propriétaires

Trouver des problèmes majeurs qui ajouteront à leurs coûts de rénovation 33 %
Changement soudain de leur situation financière (perte d’emploi, divorce ou maladie) 18 %
Ne pas récupérer leur investissement lorsqu’ils vendront leur maison 17 %
Un effondrement du marché du logement qui réduira la valeur de leur maison 15 %
Trop s’endetter 14 %
Être incapable de payer les dettes de rénovation aussi vite qu’elles le souhaitent 13 %
Une augmentation de taux d’intérêt qui augmente leur endettement 9 %

nces Atlantiques envisagent faire des rénovations.

 

En moyenne, les propriétaires canadiens prévoient dépenser 16 439 $ pour leurs rénovations domiciliaires.

 

Les Albertains s’attendent à dépenser le plus pour leurs rénovations (22 586 $ en moyenne), tandis que ceux de la Saskatchewan et du Manitoba vont dépenser le moins (11 934 $).

 

Quatre Canadiens sur dix (42 %) disent qu’ils n’ont pas encore établi un budget de rénovation, mais qu’ils ont l’intention de faire, alors que 9 % n’ont pas l’intention d’en faire un.

 

Les Canadiens de l’Atlantique sont les plus susceptibles (19 %) de dire qu’ils n’ont pas fait de budget pour les rénovations et ne le feront pas. Ils sont également les plus susceptibles d’utiliser une carte de crédit pour payer leurs rénovations (23 % par rapport à la moyenne nationale de 13 %).

 

Les plus communes craintes financières pour les propriétaires

Trouver des problèmes majeurs qui ajouteront à leurs coûts de rénovation 33 %
Changement soudain de leur situation financière (perte d’emploi, divorce ou maladie) 18 %
Ne pas récupérer leur investissement lorsqu’ils vendront leur maison 17 %
Un effondrement du marché du logement qui réduira la valeur de leur maison 15 %
Trop s’endetter 14 %
Être incapable de payer les dettes de rénovation aussi vite qu’elles le souhaitent 13 %
Une augmentation de taux d’intérêt qui augmente leur endettement 9 %

Méthodologie

Un échantillon de 1 003 propriétaires canadiens (qui planifie une rénovation) âgés de 18 ans et plus ont été interrogés en ligne, entre le 18 et le 24 mai. La pondération a ensuite été utilisée pour équilibrer les données démographiques afin de s’assurer que la composition de l’échantillon reflète celle de la population adulte selon les données du recensement et de fournir des résultats destinés à approcher l’univers de l’échantillon. La précision des sondages en ligne d’Ipsos est mesurée à l’aide d’un intervalle de crédibilité. Dans ce cas, le sondage est exact à ± 3,5 points de pourcentage, soit 19 fois sur 20, si tous les propriétaires canadiens qui rénoveraient étaient interrogés. L’intervalle de crédibilité sera plus large parmi les sous-groupes de la population. Toutes les enquêtes par sondage et les sondages peuvent être soumis à d’autres sources d’erreur, y compris, mais sans s’y limiter, une erreur de couverture et une erreur de mesure.

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