C’est magique. Où je suis, il n’y a aucun accès Internet ni cellulaire. Et pourtant, vous me lisez.
C’est mon équipe qui a appuyé sur le bouton « send » de ce blog court comme un twit, parce qu’écrit à la sauvette, un pied dans l’avion, l’autre presque dans l’arbre-maison ou la maison-arbre* où je m’en vais nicher pendant une huitaine avec ma douce.
On se reparle quand je redescends, de l’arbre, puis de l’avion.
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