Quand même utile ce web

Mes blogues se suivent sans se ressembler.

Après avoir vanté la semaine dernière les vertus de la déconnexion totale avec la technologie et ses bruits, voici que je me plains d’un manque d’Internet.

Il faut dire que le temps hors d’ondes en vacances était volontaire. La panne de web, hier, était subie.

Sept heures sans pouvoir accéder au www, privé d’émettre et de recevoir des courriels, contraint au texto comme un ado, et tout ça alors que c’est très justement hier que nous avions si besoin de communiquer avec nos membres et nos fournisseurs, ça fait déraper une journée autrement cordée serrée.

En réalité, une panne de connexion ne tombe jamais pile du fait que nos boulots sont devenus accros des communications virtuelles au point où on a du mal à se souvenir comment on fonctionnait il y a exactement vingt ans, c’est-à-dire avant que Netscape (vous vous en rappelez?) popularise la navigation sur la toile toute neuve.

C’est vous dire à quel point le même événement – l’absence de web – adopte une intensité dramatique variable en fonction de notre prédisposition.

Une semaine, c’est yé! J’ai congé d’Internet.

Une semaine s’écoule, nouveau congé d’Internet, c’est pas yé! cette fois…

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