Quand 1 + 1 peut égaler 3

Le co-marquage. 
Le quoi?
 Le co-branding, si vous préférez.
Le quoi?
Vous savez pourtant très bien ce dont je parle. Vous croisez et vivez des expériences de co-marquage tous les jours. Raison pour laquelle le magazine Quart de Rond en fait son prochain dossier. Raison aussi pour laquelle on vous sonde. Répondez ici à notre enquête.
Il s’agit du phénomène grandissant où deux commerces, ou deux marques, décident de partager un espace, ou une campagne, dans l’espoir que les clients du premier plairont aux clients du deuxième et que, combinées, les deux entités généreront plus de revenus que si elles étaient séparées.
Un long paragraphe qu’on aurait pu résumer par l’équation d’apparence illogique: 1 + 1 = 3.
C’est ainsi que vous pouvez manger un Big Mac dans un Walmart. Transférer de l’argent avec Western Union chez un épicier Métro. Cueillir un colis – timbré trop cher – à la pharmacie Jean Coutu.
Attirer une nouvelle clientèle, créer un plus grand achalandage sur une plus longue période, offrir des services complémentaires aux clients figure parmi les motivations à revisiter son modèle d’affaires en partageant du pied carré ou de l’image.
Notre industrie est-elle ouverte au co-branding? Devrait-elle l’adopter pour croître?
À vous de nous le dire.

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