Les portes de vos quincailleries et centres de rénovation devront restées bien fermées, le dimanche 16 avril, en l’occasion de la fête de Pâques, l’un des sept jours fériés de l’année.
Si vous tentait de délaisser le chocolat et d’ouvrir votre commerce, vous pourriez être passible d’une amende de 1 500 $ et, en cas de récidive, 3 000 $, en vertu de la Loi sur les heures et les jours d’admission dans les établissements commerciaux.
Quant à l’ensemble des entreprises, la Loi sur les normes du travail prévoit que l’employeur peut choisir d’offrir à ses employés le Vendredi saint ou le lundi de Pâques comme jour férié.
Les salariés recevront alors une indemnité égale à 1/20 du salaire gagné au cours des quatre semaines complètes de paie précédant la semaine du congé, sans tenir compte des heures supplémentaires.
L’employeur peut exiger qu’un salarié travaille le jour du congé, mais en plus de le rémunérer pour sa journée de travail, il devra lui verser l’indemnité prévue précédemment, ou à son choix, lui accorder une journée de congé compensatoire dans les trois semaines précédant ou suivant le congé.
Un salarié qui s’est absenté du travail sans autorisation ou raison valable le jour ouvrable avant ou après le jour férié ne recevra pas d’indemnité pour ce jour férié et n’aura pas de congé compensatoire.
L’AQMAT en long week-end
Veuillez noter que les bureaux de l’AQMAT seront fermés, vendredi et lundi, dans le cadre du week-end de Pâques.