Après avoir testé le marché, comme on dit, en 2017, voici que l’AQMAT lance une série de huit cahiers thématiques conçue pour informer plus profondément les marchands sur un seul sujet. De nos jours, pour avoir du succès dans l’imprimé, il faut produire de la grande qualité. Sinon, on se fait damer le pion par le web.
Mission accomplie pour l’AQMAT avec la présentation de cahiers présentés professionnellement avec un contenu informatif exclusif.
Les annonceurs y trouveront aussi leur compte avec un ratio publicité/éditorial qui met en évidence les rares espaces publicitaires disponibles.
Bien que postés à tous les membres, les cahiers thématiques peuvent également être consultés dans une version flip fort agréable. Essayez ici le premier numéro .
Le bois : une forêt de possibilités
Le premier cahier de 2018 propose une série de textes et de graphiques destinés à mieux comprendre le rôle que joue la forêt québécoise dans la vie économique,. sociale et culturelle de tout le territoire. Elle est la principale source de revenus de centaines de municipalités. Et surtout, elle fournit la matière première la plus vendue par nos centres de rénovation.
On y aborde, entre autres :
- La forêt, tout un poids lourd économique
- Un territoire socialement partagé
Dans les forêts publiques québécoises, il n’est pas rare de voir plus d’une dizaine de types d’utilisateurs interagir sur un même territoire. En effet, chasseurs, villégiateurs, randonneurs et travailleurs forestiers se côtoient quotidiennement, créant une dynamique unique au monde.
- On exporte notre bois alors qu’on en manque ici. Pourquoi donc ?
Notre forêt est une richesse naturelle et un moteur économique pour nos régions. Nous vendons notre bois aux Américains alors que des produits chinois ou autres se vendent dans nos centres de rénovation, souvent de qualité médiocre. Comment expliquer ou justifier cette situation ?
- Une industrie plus intégrée où plus rien ne se perdra : un tableau qui vous épatera!
Les produits forestiers ligneux ont beaucoup changé au pays depuis l’époque d’avant la Confédération où les grands pins blancs étaient récoltés pour servir de mâts de navires et de bois équarri pour les poutres de soutien en bâtiment.
- Vers du bois aussi traçable que ce que les citoyens mangent !
Depuis novembre dernier, le conseil d’administration du Conseil de l’industrie forestière du Québec (CIFQ) demande à ses scieries membres d’apposer le logo de l’association sur chacune des pièces de bois d’oeuvre. Ce logo est une assurance qualité pour le consommateur québécois.
- Une forêt naturelle et largement certifiée
Au Québec, 85 % des forêts publiques sont certifiées, ce qui représente la plus grande superficie certifiée au monde. Si on prend en compte que moins de 1 % du territoire forestier est récolté chaque année et que 130 millions de plants sont mis en terre annuellement, on peut affirmer que la forêt québécoise, aménagée depuis plusieurs décennies, affiche une dynamique naturelle et que sa biodiversité est désormais préservée.
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