Main-d’œuvre en quincaillerie et heures d’ouverture : encore dans les médias

La plateforme La Presse+ depuis ce matin prend à témoin les parties syndicale et patronale du milieu de la quincaillerie pour révéler au grand jour la nouvelle et difficile réalité des quincailleries comme employeurs.

 Le représentant du syndicat TUAC indique par exemple qu’on ne peut plus exiger des temps partiel qu’ils travaillent trois soirs, les samedis et les dimanches.

Le propriétaire de la Quincaillerie Lauremat à Sept-Îles confirme que les employés veulent plus de temps pour eux.

La direction du Groupe BMR constate qu’on ne peut plus demander aux travailleurs expérimentés d’être au boulot tous les weekends sous prétexte que les nouveaux ne sont pas disponibles pour ces heures.

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« Voilà de belles munitions pour alimenter nos deux campagnes en cours », est d’avis Isabelle Champagne, directrice communications et marketing de l’AQMAT.

« Une réduction obligée par la loi des heures et jours d’ouverture des commerces spécialisés comme les quincailleries devient nécessaire », ajoute-t-elle.

Les marchands et leurs employés ainsi que leurs fournisseurs sont d’ailleurs invités à compléter la pétition et à soutenir le financement d’une étude indépendante démontrant les vertus et les risques d’ouvrir six jours au lieu de sept.

Cliquez ici pour signer la pétition.

Cliquez ici pour verser quelques dollars à la campagne de sociofinancement de l’AQMAT.

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