Nos collègues du magazine américain HBS Dealer viennent de sonder leurs lecteurs sur ce qui représente leur plus gros défi ce printemps. Les 114 dirigeants de quincailleries et de centres de rénovation ont donné un verdict clair de leurs préoccupations : c’est pour 70 % d’entre eux le souci d’être approvisionné en temps et en quantité ainsi qu’à prix décent.
L’enjeu d’avoir assez d’employés sur le terrain arrive deuxième, mais bien loin derrière. En effet, à quoi bon avoir des employés si on n’a pas de marchandise à vendre.
Les protocoles imposés par la santé publique ne les embêtent pas trop, sans doute sont-ils rompus à les appliquer après une année de pratique. Non plus les frais occasionnés par la santé de leurs employés, ce qui est quand même étonnant quand on sait combien coûte l’accès à l’hôpital chez nos voisins du Sud.
Ils ne se sentent pas vraiment dérangés par l’ombre que les géants du web leur font. Peut-être devraient-ils l’être plus? Selon nous, cela viendra assez vite. Pour les marchands d’ici aussi…