Les semenciers peinent à répondre à la demande, plusieurs citadins étant à la recherche de semences pour garnir leur jardin ce printemps. Voilà un signe que l’activité de jardinage sera plus forte que jamais. D’où la nécessité de se dépêcher pour sur-approvisionner le département saisonnier des quincailleries et de compter sur un.e employé.e par quart de travail qui possède son permis de vendre des pesticides et autres produits et accessoires que rechercheront comme jamais les consommateurs.
« Si un employeur veut que son employé obtienne une attestation valide, il faut compter un délai d’un mois, incluant la formation, l’évaluation ainsi que la réception du diplôme valide de la part du ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques. Il est donc conseillé de faire les démarches à l’avance pour ne pas se retrouver sans permis valide lorsque les ventes seront au rendez-vous ! », soutient Crystelle Cormier, directrice du Collège AQMAT.
Afin de répondre à la demande, le Collège AQMAT offre plusieurs dates de formation pour les conseillers-vendeurs en pesticides domestiques B2 et agricoles B1.
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De soudeur, Isaac Veilleux est devenu semencier en rejoignant sa conjointe. Depuis décembre, le couple travaille près d’une douzaine d’heures par jour.