Hier a été adoptée sur division par l’Assemblée nationale une loi portant l’ambitieux titre de « modernisation de l’industrie de la construction ».
On dit que la politique est l’art du compromis. Le fait que le résultat n’est pas vraiment critiqué ni par la partie syndicale ni par les entrepreneurs en construction donne à croire que les façons de faire ne seront pas fondamentalement remises en question.
Pourtant, le ministre Jean Boulet promet de récupérer en efficacité 10 % des quelque 210 millions d’heures facturées par les 25 métiers touchés.
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Lundi, l’AQMAT décortique le texte de loi et pose son diagnostic.