La pandémie transforme l’homobricolus nord-américain

Un des effets collatéraux de la COVID-19 est le retour en force du « Fait maison » et d’une quête vers plus d’autonomie. Les gens veulent jardiner au Québec. Chez nos voisins du Sud, le confinement stimule une plus grande variété de projets de rénovation et d’amélioration au domicile auquel ils sont dorénavant plus attachés. 

Du moins, c’est ce que révèle un sondage réalisé auprès d’environ 400 lecteurs du magazine américain Hardware and Building Supply  Dealerlequel s’adresse aux quincailleries et centres de rénovation.

L’enquête montre qu’avec l’arrivée de la belle saison, sans surprise, ce sont les travaux extérieurs (37 %) qui tiennent le haut du pavé. Viennent ensuite des améliorations diverses aux pièces de la maisonen plus des activités de nettoyage du printemps. 

À la question, quels projets de rénovation avez-vous entrepris depuis le début du confinement, voici les réponses du propriétaire résidentiel américain. 

  • 37 % Travaux à la pelouse 
  • 17 % Peindre une pièce 
  • 11 % Nettoyage à haute pression 
  • 10 % Améliorations du bureau 
  • 8 % Améliorations à la salle de bain 
  • 8 % Améliorations à la terrasse 
  • 5 % Nettoyage des gouttières 
  • 4 % Améliorations à la cuisine 

Des sondages réalisés ici et pour le compte de l’AQMAT par l’Observatoire de la consommation responsable montrent les mêmes tendances.

Croyez-vous que l’homobricolus quebecus suivra les mêmes tendances ?  On démarre le dialogue : lbouchard@aqmat.org 

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