Lors de son assemblée générale annuelle ayant eu lieu le 4 juin, virtuellement, bien sûr, les membres de La Coop Unifrontières se sont prononcés en faveur de l’adoption d’un nouveau nom pour la coopérative : Uniag Coopérative.
« La Coop Unifrontières a déjà beaucoup évolué depuis trois ans, déclare Sylvain Brault, président du conseil d’administration. Avec le changement d’image de marque du réseau de Sollio Groupe Coopératif, nous avons saisi l’opportunité de rafraîchir notre nom dans le but de servir au mieux les intérêts de notre coopérative et de nos membres à court, moyen et long terme ».
Arborant fièrement la nouvelle signature visuelle du réseau, Uniag Coopérative se dote d’une stratégie de marque lui permettant d’appuyer cette volonté. « À la fois un hommage à Unifrontières, à l’agriculture et aux agriculteurs, Uniag Coopérative évoque les notions d’innovation, d’agilité et d’unicité, tout en étant valable dans les deux langues officielles du pays », détaille Jean-Sébastien Leblanc, directeur général de la coopérative.
Des caractéristiques qui permettront à l’organisation de poursuivre son développement auprès du marché anglophone sans délaisser son héritage ni sa clientèle actuelle.
Une transition graduelle est prévue au cours des prochains mois, à la suite de l’approbation du ministère de l’Économie et de l’Innovation pour une formalité, la modification au Registraire des entreprises du Québec.
À propos de La Coop Unifrontières
La coopérative agricole et une force économique de la Montérégie-Ouest et de l’est de l’Ontario. Née de la fusion entre La Coop des Frontières et de La Coop Uniforce et de l’acquisition de La Coop AgriEst en 2017, elle compte sept emplacements d’affaires sous diverses bannières : BMR, BMR Express, Agrizone et Sonichoix. Elle exploite également cinq centres d’engrais. L’entreprise compte plus de 900 membres sociétaires et près de 400 membres auxiliaires. Elle emploie plus de 135 personnes et son chiffre d’affaires est de 159 millions de dollars.
Le nom, inclus dans le logo dévoilé aujourd’hui, doit encore recevoir l’approbation du ministère de l’Économie et de l’Innovation du Québec.