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À 60 ans, Tolko jette du lest pour gagner en agilité

L’année 2016 devrait être ponctuée par les célébrations du 60e anniversaire de création de Tolko Industries. Mais le calendrier se conclura plutôt par la fermeture de l’usine de papier Kraft que l’entreprise opère dans une petite bourgade du Manitoba.

La non-rentabilité serait la raison du cadenas prévu pour le 2 décembre.

Capture d’eěcran 2016-08-25 aĚ 11.44.46L’entreprise manufacturière d’une large gamme de produits forestiers, dont le siège est à Vernon en Colombie-Britannique, s’est engagée à mettre en place un programme de relocalisation ou de réorientation des 332 employés touchés, bien que plusieurs choisiront le chemin de la retraite.

Cliquez ici pour voir un reportage de Radio-Canada sur l’impact de la fermeture.

Tolko Industries (www.tolko.com) est en pleine mutation depuis l’automne 2015 où une nouvelle direction a été donnée aux ventes. Une prise de conscience du marché plus ouvert qu’avant a conduit à un repositionnement. Cela signifie que les clients traditionnels n’ont plus l’exclusivité des produits, maintenant offerts à tout client, directement du moulin à coups de chargements de camions, voire de voitures.

Le personnel suit le cours des marchés des commodités de plus près, notamment le contreplaqué et l’OSB, ajustant continuellement les tarifs en fonction de la compétition.


2,5M$ pour rehausser l’expérience client au magasin corporatif BMR Ostiguy & Frères

Groupe BMR annonce avoir fait l’acquisition du terrain attenant à son magasin corporatif Ostiguy & Frères situé au 1000, boulevard Industriel à Chambly, en vue de la construction d’un nouvel entrepôt de matériaux.

Où se situe BMRIl s’agit d’un projet d’investissement total de 2,5 millions de dollars, soit 1,3 million de dollars pour l’achat du terrain et 1,2 million de dollars pour la construction de l’entrepôt.

Les travaux ont débuté hier et devraient se terminer en décembre 2016.

« La construction d’un entrepôt de matériaux tout juste à côté de notre magasin était un incontournable pour Groupe BMR et nous avons saisi l’opportunité dès qu’elle s’est présentée. Un accès direct à l’entrepôt nous rendra assurément plus efficaces et nous donnera plus de flexibilité », a mentionné le vice-président détail de Groupe BMR, Martin Lecomte.

La nouvelle fait suite à la volonté de Groupe BMR d’améliorer l’expérience client dans ses magasins corporatifs, dans la même veine que la récente annonce d’un investissement d’un million de dollars dans son magasin de Beloeil.


Un OUI sans équivoque en faveur de l’intervention de l’État dans le problème des coûts transactionnels de cartes de crédit imposés aux marchands

129 Oui, 2 NonIl y a 48 heures, l’AQMAT avait reçu 13 réponses seulement à son enquête express : Le gouvernement Trudeau devrait-il forcer Visa et MasterCard à réduire leurs coûts aux marchands?

Nous venons de fermer le questionnaire après avoir compilé 131 réponses avec une aisance déconcertante puisque c’est dans une proportion de 98,50 % que les répondants appuient l’AQMAT dans ses démarches en vue de forcer le gouvernement fédéral à imposer des frais maximums aux émetteurs de cartes de crédit, notamment Visa et MasterCard qui forment un quasi duopole.

Lisons maintenant plusieurs commentaires qu’ont généreusement laissés des répondants.

« Je vous encourage, mais je ne pense pas que les taux changeront »

« C’est un monopole qui nous coûte une fortune »

« Important, nos marges sont tellement réduites déjà »

« Il ne semblent pas avoir de volonté de diminuer leurs frais et c’est peu négociable »

« Non, c’est au marché de choisir »

« Les frais imposés aux marchands sont trop élevés et devraient être payés également par l’utilisateur »

« C’est certain, car nous ne pouvons refuser les cartes les plus coûteuses des clients sans les frustrer. En ne limitant pas les frais, nous donnons le droit à VISA et MASTERCARD d’augmenter leurs pourcentages donnés aux clients à nos dépends. C’est injuste qu’ils puissent charger les taux qu’ils veulent »

« Lets all stop using credit card, that will fix it »

« Il faudrait aussi rendre les programmes de récompenses aux frais de l`utilisateur »

« Les intervenants majeurs devraient commencer un dialogue avec les émetteurs de carte de crédit »

« Les autres bannières devraient suivre Walmart »


La vente Goodfellow bat son plein toute la journée

Chaque mois d’août ramène la vente annuelle chez Goodfellow.

C’est par centaines que marchands de toute couleur de bannières donnent suite au rendez-vous proposé aux installations de Delson.

Écoutons ici le président et chef de la direction de Goodfellow, Denis Fraser, souhaiter la bienvenue aux premiers visiteurs.


Le pour, le contre et l’avenir du phénomène des micromaisons

On trouve sur Internet une foule de blogueurs enthousiastes qui font l’étalage et l’éloge de leur micromaison ou minimaison et qui racontent comment ils se sont adaptés au mode de vie associé à cette forme de logement atypique. Les images, les articles et les émissions de télévision mettant en vedette les micromaisons, qui montrent des intérieurs aménagés et meublés de façon originale pour maximiser l’espace, ont attiré l’attention sur les mérites de vivre dans la simplicité à certaines périodes de la vie. La Société canadienne d’hypothèques et de logements brosse ici un tableau intéressant du présent et de l’avenir du phénomène.

Pourquoi vivre mini?

Pour de nombreux adeptes, opter pour une micromaison c’est revenir à un mode de vie plus simple, moins axé sur les biens matériels.

La construction de micromaisons exige moins de matières premières et produit moins de déchets, ce qui en fait un choix écologique attrayant. Elle coûte aussi beaucoup moins cher que la construction d’un logement traditionnel – entre 20 000 et 45 000 $, généralement. Son coût moindre et sa facilité d’entretien laissent à ses occupants plus de temps et d’argent pour profiter de la vie. Les mordus de la micromaison apprécient également la mobilité accrue que leur procure le fait de vivre dans une maisonnette sur roues.

Les inconvénients

La vie en micromaison vient avec un certain degré d’incertitude qui ne plaît pas à tout le monde. Il s’est créé une sorte de vide juridique autour de ces petites maisons mobiles, si bien qu’il peut être très difficile de trouver un endroit pour les stationner en toute légalité.

L’incertitude entourant la durabilité, les codes du bâtiment, le zonage et la certification limitent le potentiel d’investissement dans les micromaisons. Le branchement aux services comme l’alimentation en eau, le réseau électrique et Internet n’est pas toujours possible. Enfin, le peu d’intimité ou d’espace disponible pour que les enfants puissent jouer est un facteur qui a fini par amener certains propriétaires de micromaison à abandonner ce mode de vie.

L’avenir des micromaisons

Le plus gros effet du mouvement des micromaisons sera peut-être d’avoir contribué à légitimer et à rendre attrayante la vie dans de petits espaces, en plus d’avoir débarrassé les minimaisons de l’image de bidonvilles et de cabanes qui leur était associée. Ce mouvement a aidé à accroître la volonté des municipalités de revoir les règlements sur les dimensions des habitations et à envisager les micromaisons comme un moyen d’augmenter l’offre de logements abordables.

Lire l’article complet ici: https://www.cmhc-schl.gc.ca/fr/clfihaclin/observateur/upload/tiny-houses-observer-2016-article-3-fr.pdf


Frais imposés par Visa et MasterCard: voulez-vous ou non que nous parlions en votre nom?

La question est trop importante pour que seulement 13 d’entre vous y répondent. Alors, nous vous la posons de nouveau:

Le gouvernement Trudeau devrait-il forcer Visa et MasterCard à réduire leurs coûts aux marchands?

Répondez ici et voyez automatiquement ce que les autres répondants en pensent:
https://fr.surveymonkey.com/r/WCXQYXL

Plus vous serez nombreux à répondre, plus clair sera notre mandat de négociation avec le gouvernement.