Nouvelles


Dix webinaires… parce que la COVID-19 provoque plusieurs changements technologiques et comportementaux

Le mot virage est employé à plusieurs sauces, mais quand on parle de numérique, on ne saurait mieux verbaliser la situation à appréhender. Parce que, justement, chaque quincaillerie et chaque manufacturier se doit d’apprivoiser et d’incorporer une série de mécanismes, de procédés et même de comportements afin de ne pas être largué en cette ère de changements technologiques accélérée, lAQMAT anime une série de dix webinaires répondant aux besoins spécifiques de ses membres liés à la gestion du temps en situation de crise.


Ce fragile lien de confiance à rafistoler à cause des dommages pandémiques

Une dirigeante de centre de rénovation qui fait presque l’objet d’une mise en demeure, un directeur des ventes manufacturières forcé de négocier l’application de pénalités exigées de sa bannière, une enseigne de quincaillerie poursuivie pour perte de jouissance par un client. La cour est pleine de plaintes. Le coronavirus a exacerbé les tensions entre tout le monde. Chacun a le devoir de contribuer à calmer le jeu. 


L’ALENA est mort, vive l’ACEUM

Tout le monde parle avec raison d’achat local. Il reste que la consommation domestique ne suffira jamais à satisfaire les besoins d’écoulement de tous les produits de nos manufacturiers parce que notre population est loin d’être celle des États-Unis. C’est pourquoi les membres de l’AQMAT sont invités à s’informer et à tirer le maximum de bénéfices du nouvel Accord signé avec nos deux voisins nord-américains et en vigueur depuis mercredi.






Employeurs debout et responsables pendant la crise

Plusieurs associations patronales s’insurgent contre le prolongement de la Prestation canadienne d’urgence (PCU) qui offre un soutien financier aux employés et aux travailleurs indépendants canadiens touchés directement par la COVID-19. L’offensive est même soutenue par le ministre québécois du Travail.



Maisons neuves : retards de livraison confirmés pour le 1er juillet, mais reprise robuste attendue

Les trois ou quatre semaines de fermeture des chantiers au printemps vont laisser une marque sur les états financiers trimestriels, sur la capacité des promoteurs de livrer toutes les maisons pour ce mercredi 1er juillet, mais même sans le projet de loi 61 mort au feuilleton, une reprise robuste devrait permettre de présenter une bonne année d’activités dans l’industrie de la construction.