Une dirigeante de centre de rénovation qui fait presque l’objet d’une mise en demeure, un directeur des ventes manufacturières forcé de négocier l’application de pénalités exigées de sa bannière, une enseigne de quincaillerie poursuivie pour perte de jouissance par un client. La cour est pleine de plaintes. Le coronavirus a exacerbé les tensions entre tout le monde. Chacun a le devoir de contribuer à calmer le jeu.
Le blog de Richard
Employeurs debout et responsables pendant la crise
Plusieurs associations patronales s’insurgent contre le prolongement de la Prestation canadienne d’urgence (PCU) qui offre un soutien financier aux employés et aux travailleurs indépendants canadiens touchés directement par la COVID-19. L’offensive est même soutenue par le ministre québécois du Travail.
Une chaîne d’approvisionnement à repenser, une solidarité socio-économique à naître
La pandémie – et avant elle, le blocus ferroviaire – a révélé de grandes failles au chapitre de l’approvisionnement. L’industrie québécoise de la quincaillerie et des matériaux est plus vulnérable qu’on le croyait. Nos ventes et notre capital réputationnel s’en trouvent affectés.
La rupture d’inventaire comporte une part de lumière
C’est devenu un secret de Polichinelle, les médias s’en rendent aussi compte : les quincailleries et centres de rénovation sont victimes de leurs succès. L’approvisionnement dans la marchandise saisonnière et importée est retardé par un véritable bouquet d’éléments qui convergent vers une cause : la COVID-19.
La COVID-19 relance le débat sur les frais de cartes de crédit qui échappent au contrôle des marchands
Les quincailleries et centres de rénovation voient en général une augmentation de leur chiffre d’affaires depuis la crise sanitaire. En partie en raison de la fermeture de plusieurs commerces pendant de nombreuses semaines et en partie parce que, confinée, la population retrouve le sens du mot « cocooning » et le plaisir de bricoler. Mais qu’en est-il du revenu net aussi appelé profit?
Prévisions hasardeuses du marché résidentiel
Bien malin est celui ou celle qui peut prédire ce que les marchés de la construction neuve et de la revente seront pour les mois à venir.
En ce Jour de la Terre, commençons à dévoiler nos couleurs
L’an 2020 représente une fin et donc, forcément un début. Je pourrais référer à plusieurs choses et m’égarer, mais restons concrets et surtout, humbles. Concentrons ce blogue à se demander pourquoi l’AQMAT, une association patronale, devrait célébrer le Jour de la Terre?
Le cheval de Troie bleu
On m’a demandé de donner la chance au coureur après mon blogue intitulé « Le panier pas assez bleu», paru au début de l’initiative gouvernementale supposée encourager l’achat local. Une semaine plus tard, les choses semblent plutôt empirées.
Le panier pas assez bleu
Comme nombre d’observateurs du commerce de détail, nous avons été heureux de l’initiative du gouvernement du Québec d’encourager le local. Une fois sur la plateforme, on est resté sur notre faim.
Que les chantiers de construction rouvrent dès qu’ils peuvent être 100 % sanitaires
Richard Darveau, président et chef de la direction
Association québécoise de la quincaillerie et des matériaux de construction (AQMAT)
J’interpelle les associations d’entrepreneurs et les syndicats pour un engagement sans compromis à l’égard de la santé des travailleurs afin que les chantiers rouvrent aussitôt que possible, mais pas à n’importe quelle condition.