25 décembre et 1er janvier : vos commerces fermés!

Chaque année, à pareille date, on doit se rappeler les règles qui prévalent en vertu de la Loi sur sur les heures et les jours d’admission dans les établissements commerciaux et des Normes du travail du Québec en regard des heures d’affaires de vos commerces durant la période des Fêtes.

Ainsi, voici ce qui en est des heures d’admission permises dans les quincailleries et centres de rénovation :

Dimanche 24 décembre : 8 heures à 17 heures

Lundi 25 décembre :  FERMÉ (on ne peut accueillir la clientèle dans les commerces)

Mardi 26 décembre (Boxing Day) : 13 heures à 21 heures

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Dimanche 31 décembre : 8 heures à 17 heures

Lundi 1er janvier 2018 :   FERMÉ (on ne peut accueillir la clientèle dans les commerces)

Mardi 2 janvier : ouverture des commerces aux heures habituelles (8 heures à 21 heures)

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BUREAUX DE L’AQMAT

Nos bureaux fermeront le 22 décembre à 17 heures pour rouvrir le mercredi 3 janvier à 8h30.

 

Congés et indemnités aux travailleurs

Si un salarié est en congé annuel le 25 décembre ou le 1er janvier, l’employeur doit lui verser une indemnité ou lui accorder un congé compensatoire d’une journée pour chacun des jours fériés à une date convenue entre les parties.

L’employeur doit verser au salarié une indemnité égale à 1/20 du salaire gagné au cours des quatre semaines complètes de paie précédant la semaine du congé de Noël et du jour de l’An, sans tenir compte des heures supplémentaires. Pour ce qui est des salariés rémunérés en tout ou en partie à commission, l’indemnité doit être égale à 1/60 du salaire gagné au cours des 12 semaines complètes de paie précédant la semaine du congé.

Même si un jour férié est normalement chômé par tous les salariés, un employé peut ne pas avoir congé en raison des besoins de l’entreprise où il travaille. Si un salarié doit travailler le 25 décembre ou le 1er janvier, il recevra, en plus du salaire correspondant au travail effectué, une indemnité ou un congé compensatoire d’une journée. Dans ce cas, le congé doit être pris dans les trois semaines précédant ou suivant le jour férié, au choix de l’employeur.

Source :  CNESST

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