Deux équipes du Groupe Yves Gagnon BMR ont participé la fin de semaine dernière, à l’édition 2017 du 24h de Tremblant. Grâce à la générosité des partenaires et des donateurs, les 22 skieurs et marcheurs de l’équipe ont récolté la somme de 55 083 $. Avec ce montant remis pour la cause des enfants, ils ont fracassé leur objectif de départ, fixé à 38 000 $.
C’était la 4e participation de Groupe Yves Gagnon BMR à l’événement qui a fracassé son record avec la participation de 366 équipes cette année. Ce fort taux de participation n’a pas empêché l’équipe de ski Groupe Yves Gagnon BMR à atteindre la 3e marche du podium dans la course à la collecte de dons avec une récolte de 49 093 $. Dans la catégorie multi-équipes, l’entreprise s’est également classée parmi les meilleurs en atteignant la 10e position.
Dans la catégorie individuelle, Geneviève Gagnon a relevé son défi, soit de dépasser son record de l’an dernier. Avec 5 000$ de plus cette année, elle a cumulé la somme de 34 307 $ en dons individuels. Sur un total de 3 317 participants, la directrice générale de Groupe Yves Gagnon BMR a atteint la plus haute marche du podium pour une deuxième année consécutive. Un accomplissement grandement souligné par l’organisation, dont elle peut être fière.
En quatre années de participation, le Groupe Yves Gagnon BMR a pu remettre plus de 165 000 $ aux trois fondations bénéficiaires de l’événement soit la Fondation Centre de cancérologie Charles-Bruneau, la Fondation des Sénateurs d’Ottawa et la Fondation Tremblant. L’essentiel de l’événement étant de remettre le plus possible aux enfants, Mme Gagnon croit que son équipe et elle peuvent dire : mission accomplie! Pour sa 17e édition, le 24h de Tremblant a pu remettre la somme de 3 868 742 $ aux fondations parrainées.
Deux compétiteurs se donnent la main
Geneviève Gagnon se dit très heureuse d’avoir été approchée par La Traversée pour cette cause qui l’inspire énormément. «On parle d’un projet de 2 M$ environ. Pour un seul marchand, c’est lourd de contribuer autant. Par contre, si on s’associe ensemble, on pourra y arriver», croit-elle. Elle trouve également important de souligner qu’il s’agit de la première fois que deux compétiteurs comme Rona et BMR s’unissent pour une cause. Elle y voit la preuve que l’offre de soins palliatifs dans la région saura rallier tout le monde.
France Forget abonde dans le même sens. «Nous voulons faire de cette collaboration un symbole pour la communauté. La cause mérite qu’on aille au-delà de ces frontières-là», déclare celle qui a été présidente pendant deux ans de la fondation La Traversée, avant de céder sa place. Elle entend, dans les prochaines semaines, convaincre d’autres entreprises de joindre l’aventure. Elle croit au succès de ses démarches. «Il y a tellement de belles personnes là-dedans, ça ne peut pas faire autrement que fonctionner», conclut-elle.