Le vol d’outils tenté au BMR Anctil Magog a généré plusieurs appels de nos membres. Des individus ressemblant passablement au profil décrit par les policiers de l’Estrie auraient tenté et, dans certains cas, réussi des larcins de marchandises dans au moins quatre autres centres de rénovation de différentes bannières.
« Ce qui m’amène à dire aux membres que l’AQMAT prend cela au sérieux et que nous négocions actuellement avec des firmes offrant des prestations technologiques potentiellement utiles à prévenir des vols à l’étalage et des fraudes, notamment par l’usage de la reconnaissance faciale », affirme Crystelle Cormier, cheffe de la direction.
« Nous sommes à nous assurer que de tels services respectent la Loi 25 et toute autre législation avant de les proposer aux membres dans le cadre de la prochaine planification stratégique qui pointe le nez », ajoute Mme Cormier.
Pour sa part, Richard Darveau poursuit ses représentations en vue de sensibiliser les corps policiers et les autorités gouvernementales à la place stratégique qu’a pris Marketplace dans le recel. « Si on encadre mieux cette plateforme, notamment en exigeant la facture lorsqu’il s’agit de marchandise neuve, on va compliquer la revente pour les voleurs. Et sans revente, à quoi bon voler? »
Bravo Richard pour la position prise avec la lettre adressée aux hautes instances concernant le lock-out des cies ferroviaires. Ce papier est très pertinent.
Le vol à l’étalage est un fléau , je suis totalement d’accord et je suis partie prenante de punir et de pouvoir avoir du pouvoir sur cette plaie dans nos commerces. A l’âge de pierre, ils coupaient des mains, c’est drastique je sais. Mon commerce c’est mon gagne-pain et j’aime bien choisir moi-même à qui je décide de donner !!!
C’est rendu qu’un client avec une casquette, un sac à dos , des lunettes passe pour être suspect. Il faut continuer d’aider la police en dénonçant ces malfaiteurs.
Richard continue de prendre position et défendre nos intérêts.