1-800 Passeport vaccinal

Les interprétations commencent avec ce décret trop bref, trop flou, trop tard. L’AQMAT est là pour répondre à vos points et les défendre devant les autorités.

Les marchands sont priés de ne pas hésiter à joindre Isabelle Champagne pour aborder toute question qui peut surgir quant à l’application du passeport vaccinal pour les quincailleries et centres de rénovation dont la superficie de vente excède 1500 mètres carrés (16 165 pi ca).

Notre vice-présidente information et formation se place à l’entière disposition pour répondre sur le champ à vos questions et pour effectuer les recherches et représentations auprès des autorités concernées afin de résoudre vos problèmes.

Prière de formuler votre question par courriel à ichampagne@aqmat.org. En cas de réelle urgence, appelez-la sur son cellulaire au 514-951-3695.

Les histoires dignes de certains albums d’Astérix comme celui où l’on parle de la maison qui rend fou (Les 12 travaux d’Astérix) commencent à arriver à nos oreilles, comme au début de la pandémie. On s’en souvient, il fallait s’entendre sur la marchandise essentielle, une notion assez variable, d’un client à l’autre, d’une région à l’autre…

Cette fois, l’enjeu consiste à avoir la même définition de ce que le décret entend par superficie de vente. Un exemple parmi tant d’autres : une professionnelle rattachée à la santé publique d’un CIUSS régional demande à un de nos centres de rénovation membres de contrôler l’entrée de sa cour à bois et de ses entrepôts, donc de considérer ces bâtiments dans le calcul des pieds carrés de vente. Or, le public n’a pas accès à ces lieux qui, de ce fait, ne peuvent être considérés comme des lieux de vente.

Pour sa part, la direction du ministère de la Santé et des Services sociaux nous donne cette précision : « Le décret exclut la cour extérieure, quand les clients vont chercher les matériaux qu’ils ont acheté en magasin, en ligne ou par téléphone. »

L’AQMAT va défendre le fait que le texte de l’arrêté ministériel stipule que la surface où doit s’exercer un contrôle vaccinal doit être réservée à faire des ventes, à offrir des services liés à la vente ainsi qu’aux accès comme les zones de circulation et de paiement.

Si un centre de rénovation ne permet pas au public de circuler dans sa cour à bois ou dans son entrepôt et donc qu’aucune activité de « magasinage » ne s’y passe et encore moins de paiements, notre interprétation est à l’effet qu’il ne s’agit pas du tout de surfaces de vente.

Ce débat en entraîne un autre dans son sillon, celui d’inclure les espaces extérieurs à la notion de surface de vente. À ce propos, puisque le décret ne précise pas si les activités de vente à l’extérieur sont visées ou pas, nous recommandons aux marchands de considérer qu’une surface de vente peut être extérieure s’il s’y passe du magasinage, du service-conseil et des paiements d’achat de marchandises.

Encore une fois, on le répète, soumettez-nous vos cas et on défendra à la fois la santé publique qui nous concerne tous et vos propres intérêts qui, dans la majorité des cas, ne s’avéreront pas du tout en compétition.

 

 

 

 

 

 

 

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