Le Magazine AQMAT franchit d’autres pas numériques

Seul média francophone rejoignant marchands et groupements d’achats en quincaillerie et matériaux, le Magazine réussit à avancer depuis 66 ans, sans perdre de son influence, en appliquant une recette bien simple : rester de son temps. Si les contenus se collent aux préoccupations changeantes des quincailliers et à celles de leurs fournisseurs, la publication s’adapte bien à l’évolution de ses lecteurs qui attendent beaucoup plus que seulement une version imprimée.

En 2022, tout le monde sera donc content de retrouver le beau grand format qui fait le succès des deux dernières années et qui a permis à l’association de retrouver des plateaux de revenus publicitaires qui, sinon, avaient tendance à s’égrener.

De l’avis de Jasmine Sylvère, conseillère principale en promotion et publicité à l’AQMAT, « nos annonceurs ne sont pas différents de leurs clients, ils aiment le beau et le bon. Et force est de constater que l’emballage distinctif du Magazine AQMAT depuis 2020, où les gens de l’industrie peuvent consommer des articles et des entrevues uniques, préparés avec une rigueur journalistique, est une formule gagnante ».

On revient donc avec la même qualité visuelle, un numéro par saison, un tirage qui rejoint environ 7000 lecteurs professionnels (en moyenne, 3,5 lecteurs pour chacun des 2000 exemplaires), des visites d’usines et des entrevues présidentielles, etc. Mais on ajoute plusieurs caractéristiques pour donner plus de valeur au périodique.

 

Une pub pour l’image, aussi pour des contacts

Couverture du plus récent numéro bientôt mis à la poste. Cliquer ici pour accéder à la version « flip »

En effet, les annonceurs expriment le désir d’obtenir des retours immédiats et chiffrables sur leur investissement. Bien qu’une publicité serve d’abord à assoir une notoriété, à garder bien vivante une marque ou une entreprise dans la tête des lecteurs, si un éditeur peut en plus favoriser un contact encore plus direct entre un client potentiel et un produit ou service, ce sera apprécié des deux parties.

C’est ainsi qu’a germé l’idée d’offrir aux annonceurs d’intégrer un code QR à leurs publicités à partir de 2022. Il n’y a pas meilleure technologie puisque QR veut justement dire « Quick Response » (réponse rapide). Bien qu’ils puissent paraître simples, ces codes sont en fait capables de stocker un nombre important de données. Les annonceurs peuvent librement orienter les lecteurs vers le contenu spécifique de leur choix. S’ils oublient, l’AQMAT créera les codes qui aboutiront sur les sites web des compagnies qui annoncent.

Le Magazine est aussi disponible en version virtuelle « flip » où l’on tourne les pages virtuellement. Peu des utilisateurs savent cependant que les publicités et les adresses courriel y sont cliquables.

Dans une même veine promotionnelle, il sera encore possible l’année prochaine de placer un encart cartonné dans la pochette plastique dans lequel est livré le magazine par la poste. Car bien que le web ait changé nos vies, n’oublions jamais que pour plusieurs, la force d’un imprimé qu’on tient dans ses mains demeure bien présente.

Plus d’exclusivités pour les membres

L’autre grande nouveauté est le développement de contenus exclusifs pour les membres. Isabelle Champagne, directrice des communications et du marketing de l’AQMAT précise :

« En sondage récemment, on a constaté qu’une frange importante de nos membres désirent en avoir plus pour leur argent. Le concept d’accès VIP existait, mais on ne l’avait pas sérieusement exploité. À partir de 2022, une entreprise non membre de l’AQMAT frappera plus souvent un mur quand viendra le temps d’accéder à certains dossiers de grande valeur. »

Par ailleurs, les annonceurs les plus fidèles, ceux qui signent des contrats annuels avec l’AQMAT, continuent de jouir d’un grand privilège, celui d’annoncer dans les infolettres quotidiennes. Ce média est devenu la première source d’information de toute la communauté d’affaires; il est tellement perçu comme un service d’intérêt public et général que désormais, toute personne peut s’y abonner gratuitement et le consommer.

 

Une thématique et une section spéciale par numéro

En 2022, on revient avec un équilibre dans les contenus entre l’information socio-économique et financière aux côtés de renseignements plus techniques. Voici, en primeur les quatre thématiques et les quatre sections spéciales de l’année prochaine.

Au printemps :

Sécurité, équipements et services : d’une part, l’équipement et les technologies qui assurent la sécurité et permettent d’obtenir des données pour un meilleur marketing, donc de meilleures ventes. Zoom sur l’Internet de l’objet et le potentiel de la RFID qui se démocratise. D’autre part, les produits de sécurité pour le consommateur que toute quincaillerie devrait offrir, incluant la domotique en développement à grande vitesse.

L’intégration des minorités dans l’industrie : si les Québécois qui ne sont pas de souche se voient souvent confier des postes de commande dans les usines et les firmes de services, nous les interviewerons. Il est trop rare de croiser un cadre, voire un propriétaire-marchand de quincaillerie qui a la peau d’une autre couleur, les yeux d’une autre forme, un accent exotique, nous les débusquerons. On mettra aussi en vedette que ceux et celles qui, faisant fi de toute barrière, leur auront donné leur première chance parmi nous.

À l’été :

Salles de bain, matériaux, accessoires et tendances : les rénos à valeur très ajoutée, les avantages et limites des différents revêtements de sol, la robinetterie comparée, les styles en vogue et ceux à la dérive, les magasins qui s’en font une niche, etc.

Le déploiement des produits locaux : présumant d’un partenariat signé avec le gouvernement du Canada en vue de propager le programme auprès des propriétaires résidentiels et des entrepreneurs en construction, la section fera la part large aux produits accrédités et aux partenaires de « Bien fait ici».

À l’automne :

Le bois sous toutes coutures : les prix qui évoluent en dents de scie (!), les gammes de produits comparées par taille, le bois local, le bois canadien et le bois importé, les scieries qui priorisent le marché résidentiel, la croissance du composite, des partenariats à succès entre moulins et cours à bois, les essences qui ont la cote et celles moins populaires, l’opinion des grands distributeurs sur l’avenir, etc.

La quincaillerie et les Premières Nations : on ira à la rencontre de ceux qui revendiquent n’avoir jamais cédé les territoires où on vit et fait commerce. Portrait de la place qu’occupent les dix nations indiennes, Inuit et Métis dans nos quincailleries et nos usines, de l’impact représenté par ces 150000 individus concentrés dans une cinquantaine de villages et réserves, aussi présents dans nos villes en tant que clients et entrepreneurs. On fera aussi intervenir ces Blancs qui font la différence et arrivent à ne pas trop se laisser influencer par le poids de l’Histoire ni celui des préjugés.

À l’hiver :

Les isolants du froid, du chaud et du bruit : les matériaux classiques et les aspirants, la diaspora des opinions des architectes et des entrepreneurs, la position des produits locaux par rapport aux importations, les leaders face à la lutte aux changements climatiques, le combat contre le bruit urbain, etc.

Les Bonnes Nouvelles de l’année… et celles à venir : le retour d’une formule à succès où les membres partagent leurs meilleures histoires, ce qui les a fait vibrer au cours de l’année, ce qui les anime à l’aube de l’année à venir.

Les entreprises désireuses de placer une annonce dans le Magazine et donc, dans l’infolettre, ne doivent pas tarder de joindre Jasmine Sylvère, conseillère principale en promotion et publicité. Plus de 60 % de tous les espaces disponibles ont déjà trouvé preneur.

 

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