Le grand patron de BMR expose quelques stratégies de démarcation

Hier, le chef de la direction de Groupe BMR, Pascal Houle, a prononcé sa toute première allocution à la Chambre de commerce du Montréal métropolitain dans le cadre des déjeuners-causeries. C’est devant une salle comble de près de 340 personnes qu’il a partagé sa vision du commerce du détail au 21e siècle et de l’avenir de BMR. Il a notamment abordé les différents enjeux auxquels l’entreprise fait face, ses alliances faites en 2019, ses ambitions pancanadiennes et son virage numérique.

Nous vous partageons quelques larges extraits de son allocution.

« Certains pessimistes ont prédit la disparition des magasins physiques. Mais la technologie ne règle pas tout. Oui, les ventes en ligne sont de plus en plus populaires, mais ce n’est pas pour rien que les joueurs comme Amazon se tournent vers le brique et mortier. Le contact humain ne s’achète pas. Chez BMR, on va miser sur l’approche du CLIQUE et mortier : car le plus important, c’est de mettre les technologies au service du client. »

« Le commerce de détail du 21e siècle est en pleine mutation et bien que cette transformation puisse paraître vertigineuse par moment, elle offre en même temps des formidables opportunités pour Groupe BMR. »

« Je veux également attirer votre attention sur notre volonté de croître par des acquisitions au Québec et en Ontario, tout en demeurant à l’affût d’occasions de développement dans l’ensemble du Canada. L’Ontario est certainement un marché de prédilection pour BMR. »

« BMR se distingue de ses concurrents par sa forte empreinte régionale : de la Gaspésie jusqu’en Abitibi-Témiscamingue, du Nord-du-Québec jusqu’en Estrie, nous sommes présents dans pas moins de 265 municipalités québécoises. Une présence marquée aussi dans quatre autres provinces canadiennes : en Ontario, au Nouveau-Brunswick, en Nouvelle-Écosse et à l’Île-du-Prince-Édouard. Mais ce qui nous distingue encore plus, c’est ce sens de l’entrepreneuriat qui a forgé notre réseau et qui guide encore aujourd’hui nos décisions les plus stratégiques. » – Pascal Houle

 

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